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REGAIN de l'Esterel
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25 juin 2018

Interpellons la Mairie des Adrets de l’Estérel pour des aliments bio servis aux écoles du village

Du bio à la cantine des Adrets !
Parce que nos enfants méritent une alimentation saine et respectueuse de notre environnement, interpellons les élu.e.s des Adrets de l'Estérel !

Quant aux idées reçues sur le bio : RdV en fin de ce post !

Pour les enfants de l'école élémentaire publique Lei Suve :

https://cantinesbio.agirpourlenvironnement.org/etablissement-0830608K/

Pour les enfants de l'école maternelle publique Les Santolines :

https://cantinesbio.agirpourlenvironnement.org/etablissement-0831386F/


Pour tordre le cou aux idées reçues :

ideesrecues1


Lire aussi :

Tribune
Bio dans les cantines : les sénateurs rateront-ils encore la marche ?
Par Joël Labbé , Sénateur écologiste du Morbihan et Gilles Pérole, Adjoint au maire en charge de l’éducation à Mouans-Sartoux, président de l’association Un Plus Bio 19 juin 2018 à 07:16

www.liberation.fr/debats/2018/06/19/bio-dans-les-cantines-les-senateurs-rateront-ils-encore-la-marche_1660059

Le retrait par le Sénat de l'objectif de 20% de produits bio dans la restauration collective d'ici 2022 est un nouveau camouflet porté au sens de l’histoire. Pendant combien de temps une minorité d’élus feront barrage aux attentes de la population de manger local, sain et juste ?


Extrait :

"[...] Manger bio serait plus cher et porterait atteinte aux budgets des collectivités comme au porte-monnaie des familles. C’est faux. En 2017, l’Observatoire national de la restauration collective bio et durable, créé par l’association Un Plus Bio, a démontré que les collectivités locales engagées dans des menus composés pour 20% de produits bio font face à un coût matière de 1,80€. Oui, un repas à 20% bio servi à la cantine coûte moins de deux euros hors taxe, lorsqu’un repas conventionnel est estimé entre 1,50 et 2,00€ (source Agores). Pour maîtriser les coûts, il suffit de faire évoluer ses pratiques d’achats, réduire le gaspillage alimentaire et composer de nouveaux menus…

La difficulté d’approvisionnement est le deuxième argument utlisé. C’est devenu une rengaine maniée avec un peu trop d’aisance par les sénateurs, qui ne semblent pas s’intéresser aux changements en cours dans les filières agricoles. Manger bio se ferait au détriment du fait de manger local et ne servirait pas l’économie des territoires, car il faudrait massivement recourir aux importations. Mais personne ne s’enquiert des conditions de circulation des produits non bio largement importés qui saturent les ports et les autoroutes du monde entier pour atterrir tranquillement dans les assiettes des cantines !

Sur la base de l’exemple de la régie municipale agricole de Mouans-Sartoux, qui fournit 85% des légumes bio consommés par les 1 000 élèves à la cantine, on peut, par exemple, estimer à 100 000 hectares la surface agricole nécessaire pour fournir en légumes bio les trois milliards de repas servis hors domicile chaque année en France. Cela représente seulement… 0,35% des 28 millions d’hectares de surface agricole utile de notre pays ! Objectif certainement pas inatteignable. [...]"


 

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